
Je ne résiste pas au plaisir de te faire partager mon avis humble et autorisé, que je partage et qui n'engage que moi.
En lisant ce roman, j'ai pensé à Marc Lévy et sa propension à faire de ses personnages masculins des lavettes inconsistantes. Ici, c'est la même chose : le "héros" est un parasite qui vit aux crochets de ses parents et de sa femme. Il est amoureux d'une fille qui revient après quelques années d'absence.
Je dois avouer que je n'ai pas compris l'intérêt de ce roman dont l'histoire d'amour n'a rien d'original, dont on a envie de gifler le "héros". L'auteur a aussi le chic pour choisir des noms ridicules à ses personnages (impossible de déterminer si c'est de l'ironie ou une manie irrépressible ; je te donne deux exemples : Louis Blériot et Murphy Blomdale pour les rivaux qui se disputent la femme aimée).
S'il y a un discours ou une thèse dans ce livre, je suis allégrement passé à côté.
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