Je monte dans le taxi qui est garé à l'avant de la file, celle qui s'étire devant le Macdo de Moszkva tér, parce qu'à cette heure-là, il n'y a plus vraiment de bus pour remonter sur les collines de Buda.
L'intérieur sent encore la clope. Le chauffeur éteint le film qu'il regardait et nous partons. Pas de ceinture à l'arrière, bon. Je lui indique l'adresse dans mon hongrois des grands soirs.
Et le voilà qui me répond : "Ah, vous avez progressé en hongrois". Surpris, je le remercie. "Votre femme vous a aidé ?" J'acquiesce. Tout en poursuivant la conversation jusqu'à destination, je me dis qu'il y a peu de chance que la même chose m'arrive un jour à Paris.
L'intérieur sent encore la clope. Le chauffeur éteint le film qu'il regardait et nous partons. Pas de ceinture à l'arrière, bon. Je lui indique l'adresse dans mon hongrois des grands soirs.
Et le voilà qui me répond : "Ah, vous avez progressé en hongrois". Surpris, je le remercie. "Votre femme vous a aidé ?" J'acquiesce. Tout en poursuivant la conversation jusqu'à destination, je me dis qu'il y a peu de chance que la même chose m'arrive un jour à Paris.
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